La mort, ce n’est pas de mourir au bout de la vie.
La mort, c’est de ne pas vivre ce qui est là.
La mort, c’est de nourrir nos peurs, celles qui nous empêchent de vivre du bon.
La mort, c’est de rester loyal à quelque chose qui n’existe plus.
La mort, c’est de couper, saboter, réduire, abîmer … le bon et le chaud qui est là et dont on a besoin.
Et le changement … c’est un état d’esprit, une prise de conscience. C’est instantané.
Toutes nos justifications ne sont que des leurres et des chimères au service de nos peurs.
Elles se nourrissent de la mort et nous privent de l’amour.
— Florence Noël, mars 2017 —
Laisser un commentaire